Dessins d’animaux au zoo d’Anvers

La journée au zoo était organisée dans le but de dessiner des animaux  vivants, qu’ils soient  endormis ou encore en mouvement. L’important était de capter l’essentiel en de simples gestes/ traits, qui en disent bien souvent davantage que de dessins souvent bien trop aboutis.

Le froid glacial de ce jour, je l’ai perçu très néfaste au moment de la réalisation de ces croquis. Il faisait très froid !!!!

Néanmoins, le froid nous forçait à ne pas nous attarder sur un animal en particulier et de suivre rapidement les enchaînements pour ne pas s’éterniser et geler sur place !

Autant vous dire que cela a joué sur le résultat.

Case départ : réalisation d’une animation dans l’atelier Graphoui

GRAPHOUI = expérience enrichissante et découverte impressionnante ( 20 images à la seconde wouah et un investissement si conséquent pour une bande son…)

Cet atelier était tellement bénéfique que je trouve dommage que ce soit le seul qu’on ait réalisé durant ces trois années  à l’ISPG.

Je remercie,

Pierre, Christian et Romain pour leur patience,

l’organisateur de cette merveilleuse séance de 3 jours Monsieur Spinewine,

Madame Pleyers pour sa bonne humeur, et surtout mes camarades de l’ISPG pour ces réalisations plus que satisfaisantes ( travail réalisé en peu de temps).

Semaine art et culture (tableau vivant de Kirkeby)

Lors de notre semaine art et culture, nous avons imaginé des correspondances entre un tableau de Per Kirkerby, une musique et un mouvement. Pour ce projet, nous voulions faire circuler les différentes taches représentées sur le tableau en utilisant nos corps  vêtus de la couleur correspondante. Nous avons d’abord analysé l’oeuvre de Per Kirkerby pour ensuite imaginer une mise en scène mettant en avant l’application des différentes couches de peinture. Par contre, le jeu de mouvement n’a pas été autant réfléchi. Toutefois, la spontanéité et le hasard nous ont permis de concrétiser le film. Ce projet m’a permis d’imaginer une nouvelles technique pédégogique qui lierait le mouvement, la musique et l’analyse esthétique d’une oeuvre. Ce projet ne relève pas de la transcription, comme dans mon tfe,mais de l’investigation.

Intervention mécanique sur la matière végétale

 

J’utilise toutes les matières naturelles : je les observe, je les manipule pour comprendre leur texture et ce qu’elles me font ressentir…

Ce sont des éléments de base : on ne prend plus de temps de les contempler, de les toucher…

Ce travail lie l’aspect visuel et tactile : les matières sont mises dans un plexi et elles seront accompagnées par un échantillon tactile.

Pour compléter ce travail, je compte utiliser des photographies représentant les matières à travers la lumière (la lumière fait apparaître certaines choses indécelables).

Tache, tache, tache,que voyez-vous?

Dans le cadre de ce cours j’ai exploité différents types d’affichages, mise en page qui mettent en valeur la subtilité des choses que l’on perçoit. J’y expose des taches, qui font référence à des simples formes abstraites dont nous sommes seuls maitres de la représentation mentale.

Tout comme dans notre plus jeune enfance  nous nous approprions une multitude de choses à travers les nuages. Des références qui sont les nôtres, généralement liées à notre culture et à notre vécu.

L’accrochage ainsi que la mise en page inspirée de « Richter » et d’ « Aby Warbug » permettent d’avoir un regard différent à travers lequel vient s’articuler mon travail pour lui donner un regard nouveau qui est le votre.

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Jury

 

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TFE

Comment traduire par de la peinture l’éphémère?

Lien entre la peinture et la musique

Comment la peinture peut-elle traduire l’éphèmère? Relation entre la peinture et la musique. Mon objectif est d’utiliser un moyen personnel d’interpréter la musique à l’aide de la peinture. La difficulté de ce projet, est de trouver une manière de les associer sachant que la peinture et la musique possèdent des caractéristiques différentes: la musique se développe dans l’espace, elle est immatérielle, tandis que la peinture s’inscrit picturalement sur la toile. Le choix de la musique fut instictive: la musique orientale car j’apprécie cette danse et je l’ai pratiquée.

Je voulais communiquer cette passion à travers une démarche picturale. Même si ce projet final pourrait paraître instinctif, derrière se cache toute une complexité de recherches, d’essais, de remises en question… Etant partie de la rencontre entre la musique et la peinture, mes multiples démarches ont mis en évidence un lien, celle de la danse. Il fallu  trouver une solution pour que mon corps interagisse entièrement dans cette peinture Pour le réaliser, j’ai du enduire mon corps de peinture. Le but était de me laisser emporter par la musique et d’utiliser des pas plus chorégraphique. L’epace exigu m’a permis de retranscrire mes gestes avec la peinture.

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Eolienne

La semaine workshop est une semaine consacrée à réunir tous les élèves de 3° Ap et les sciences humaines afin de créer des projets en commun sous différents groupes.

Le but initial de ce projet est de créer des échanges, aborder différents points de vue, travailler en groupe, également avec des élèves plus jeunes. Chacun apporte son expérience à l’autre.

Mis à part l’ambition de travailler en équipe, ce qui n’est pas toujours évident et encore moins lorsqu’on ne se connait pas vraiment, un autre défi était de porter le projet à terme.

Dans notre cas, nous devions construire une maquette d’une éolienne capable de s’auto générer en énergie (à l’aide d’une dynamo). Souvent abordé dans les leçons de technologie on se rend mieux compte des réelles difficultés  rencontrées dans l’élaboration d’une éolienne.

Le choix des matériaux, le poids des éléments récupérés, l’assemblage… tout devait être pensé et testé.

Mais au final nous sommes très fiers du résultat !

Je vous laisse regarder par vous même

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Os de seiche : travaux de mes élèves à l’expo St Marie

 

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Lors de mon stage à L’Institut Sainte Marie, mes élèves ont du créer un masque africain pour le cours de forme/espace/matière. Les élèves devaient analyser les différents masques africains et se les réappropier en croquis rapide. Ensuite ils devaient les réinterpréter dans une autre dimension : l’os de seiche. L’os de seiche est un matériel très tendre où les élèves pouvaient creuser facilement (les traits du visage) avec un cutter, un cure-dent…

La pourriture d’une nature morte

Au départ, les os sont des éléments naturels de récupération qui devaient servir à constituer des animaux imaginaires. J’ai d’abord nettoyé les os avant de les assembler.

Après quelques jours, je me suis rendue compte que de la moisissure était apparue, elle est causée naturellement et favorisée  par un excès  d’humidité ainsi que des conditions favorables au développement de la moisissure.

J’ai eu la surprise d’une émergence végétative (les champignons).

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